Colfax Abbey
Chef de file du mouvement shoegaze de Minneapolis, avec entre autres February ou Shapeshifter, le groupe du label Prospective Records allait proposer une version radicale de la définition du « bruit blanc » : vaporeux, flottant et brouillé.
Après un premier single « Chameleons », accompagné de la face-b «Silver », la formation impose son nom dans la scène locale : la batterie de Rob Walsh, la guitare de Mark Magossian, la basse de Troy De Goot et surtout la voix doucereuse de Christian Rangel (connu pour avoir jouer de la guitare avec les Brian Jonestown Massacre en 1997) resteront comme les exemples parfaits de l’enchantement par voie expérimentale.
Aidé par les producteurs Keith Cleversy (qui a travaillé avec les Flaming Lips ou Spiritualized) et Ed Ackerson, le groupe sort un premier album en 1996. La volonté de fouiller au plus loin dans la recherche de sons durs et de flouter les cartes aboutira à la parution dans la foulée d’un mini-album « Penetrate » regorgeant de saturations dissonantes et autres sampling distordus.
Mais le groupe n’a pas tenu bien longtemps, disparaissant dans les méandres des formations reconnus puis oubliées.
Chef de file du mouvement shoegaze de Minneapolis, avec entre autres February ou Shapeshifter, le groupe du label Prospective Records allait proposer une version radicale de la définition du « bruit blanc » : vaporeux, flottant et brouillé.
Après un premier single « Chameleons », accompagné de la face-b «Silver », la formation impose son nom dans la scène locale : la batterie de Rob Walsh, la guitare de Mark Magossian, la basse de Troy De Goot et surtout la voix doucereuse de Christian Rangel (connu pour avoir jouer de la guitare avec les Brian Jonestown Massacre en 1997) resteront comme les exemples parfaits de l’enchantement par voie expérimentale.
Aidé par les producteurs Keith Cleversy (qui a travaillé avec les Flaming Lips ou Spiritualized) et Ed Ackerson, le groupe sort un premier album en 1996. La volonté de fouiller au plus loin dans la recherche de sons durs et de flouter les cartes aboutira à la parution dans la foulée d’un mini-album « Penetrate » regorgeant de saturations dissonantes et autres sampling distordus.
Mais le groupe n’a pas tenu bien longtemps, disparaissant dans les méandres des formations reconnus puis oubliées.
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