The Black Watch
The Black Watch est un trésor caché de l’Amérique : né en 1987 à Santa Barbara, conduit par l’omniprésent John Andrew Friedrich, parolier-chanteur-guitariste, écrivain à ces heures perdues, et possédant même son propre label, Eskimo, le groupe n’a eu de cesse de paraître des disques d’une beauté incomparable. Les membres seront nombreux et changeront souvent au grès des albums. Cependant on retiendra que la violoniste J’Anna Jacoby fut déterminante dans le son du groupe, très enlevé et aérien.
Jamais à la mode, jamais exposé à la lumière, jamais au bon moment, jamais à la bonne place, mais toujours là, toujours présent, The Black Watch livre une pop éternelle, humble et sublime, malgré les galères et les enchaînements de labels. Aujourd’hui totalement culte et incontournable pour tout féru d’indie pop et les indéfectibles romantiques.
The Black Watch est un trésor caché de l’Amérique : né en 1987 à Santa Barbara, conduit par l’omniprésent John Andrew Friedrich, parolier-chanteur-guitariste, écrivain à ces heures perdues, et possédant même son propre label, Eskimo, le groupe n’a eu de cesse de paraître des disques d’une beauté incomparable. Les membres seront nombreux et changeront souvent au grès des albums. Cependant on retiendra que la violoniste J’Anna Jacoby fut déterminante dans le son du groupe, très enlevé et aérien.
Jamais à la mode, jamais exposé à la lumière, jamais au bon moment, jamais à la bonne place, mais toujours là, toujours présent, The Black Watch livre une pop éternelle, humble et sublime, malgré les galères et les enchaînements de labels. Aujourd’hui totalement culte et incontournable pour tout féru d’indie pop et les indéfectibles romantiques.
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